~ Hey La P.T.E ! ~ ♥
Pouah, ça fait trop longtemps que je ne suis pas venue ici.
Merci pour vos commentaires sur mon histoire, sur mes chansons, sur mes poèmes. ♥
xLalou ~ Bonnes Vacances ! :3
Loljeis ~ Waoh, tu as vraiment du talent ! Continue !
Mareva ~ La suite de l'histoire ! C'est vraiment cute.
Bon eh bien comme je sais plus si j'ai posté le chapitre IV, je reposte tout pour les nouveaux arrivants et pour ceux qui ont un peu oublié :3 ♥
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Coup de cœur.
Personnages :
- Marion. (moi) - Mélanie. - Monsieur Berthaumé.
- Alexis. - Théo.
- Benjamin. - Kévin.
- Adrien. - Floriane.
- Shaïnez. - Alba.
Prologue :
J’arrive dans un nouveau lycée. Shaïnez est désignée pour m’aider à m’intégrer. Elle accepta en grommelant, cette fille… Elle m’intrigue. Je rencontre des gens et peut-être mon âme-sœur !
Chapitre I :
- Moi.
- Kévin.
- Shaïnez.
- Monsieur Berthaumé.
Bon eh bien voilà. J’y suis. Nouveau lycée, nouvelle classe, nouvelles personnes. Si jamais on ne m’acceptait pas ?! Si je n’avais aucun ami ?! J’ai peur et pourtant je dois y aller. Mon dieu, j’ai peur !
« Toc, toc, toc… »
- Entrez !
Je rentre et toute la classe me fixe. J’ai vraiment horreur de ça. J’ai envie de partir en courant ! Mais il y a une chose qui retint mon attention. Un garçon brun avec des mèches caramel, avec des yeux bleus. Il me fixait comme s’il me connaissait depuis toujours. Je remarque une place vide a côté de lui, je prie pour y être, que je découvre ce garçon si mystérieux. Le professeur prit la parole et me sortit de mes pensées.
- Tu es la nouvelle, c’est ça ?
- Oui, c’est moi.
- Entre, je m’appelle Monsieur Berthaumé, je suis professeur de littérature et également professeur de la Seconde F. Tiens, installe toi, il reste une place là-bas à côté de la fenêtre au troisième rang.
- Merci.
- Shaïnez ? Tu veux bien l’aider à s’intégrer ?
- …Mmmh.
Je souriais. Je suis à côté du garçon mystérieux, qui engagea
d’ailleurs la conversation.
- Bonjour.
- Euh… Bon… Bonjour.
- Je m’appelle Kévin et toi ?
- Marion. Enchantée.
- Enchanté aussi.
- Shaïnez a été désignée pour m’aider à m’intégrer mais si ça ne lui fait pas plaisir, je peux me débrouiller seule.
- Non, Shaïnez est extrêmement populaire, mais elle n’as qu’une seule amie, elle est plutôt solitaire. Il ne faut pas lui en vouloir. Si tu veux je lui dirais que je me chargerais de ton intégration.
- C’est vrai ? Oh merci, c’est adorable.
- De rien.
Monsieur Berthaumé qui étais au tableau pour écrire une leçon, se retourne et me dit :
- Quel est ton prénom au fait que je note dans le carnet ?
- Marion.
Monsieur Berthaumé se remet face au tableau et continue d’écrire et moi je ne cesse de penser à Kévin. Lui m’observais, il me jetait des coups d’œil rapides, il est même resté cinq bonne minutes à un moment. A la sonnerie, il m’attendit. Il m’emmena dehors, apeurée je lui dis :
- Mais ?! On n’a pas cours ?!
- Non, les cours sont finis.
- Ah merci.
- Si tu veux tu peux venir chez moi, je serais heureux de te connaître un peu plus.
- Moi aussi, je dois prévenir ma mère.
Je l’appelle donc, elle accepte, je passe trois jours chez Kévin.
Chapitre II :
- Moi.
- Kévin.
- Floriane.
Le premier jour chez Kévin étais un rêve. Il a insisté pour que je dorme avec lui, ça ne suffisait pas pour que je me fasse un film, mais j’étais heureuse. Simplement. La première journée avec lui c’était un vrai bonheur. Nous n’avions pas cours pendant trois jours. Le matin nous avons pris notre petit-déjeuner, quelle partie de rigolade ! Il commence à me mettre du Nutella sur le front, moi sur son nez, on rigole, il essaye d’enlever le Nutella avec sa langue, il n’a pas réussi, je rigolais j’étais si heureuse, il fit des bruits bizarres du genre « Gnié, Gnié, Gniiiiiié j’y arrive pas ! » Ce qui me faisait beaucoup rire. J’ai fini par lui enlever le Nutella avec mon doigt il a fait pareil avec mon front. Ensuite nous sommes partis nous habiller, c’était bien aussi, chacun s’amusais à ouvrir la porte pour faire peur à l’autre. Ensuite il m’a fait visiter son village, comme ses parents sont en voyage il en profite pour traîner, inviter des gens etc. Lui n’en savait rien, mais je commençais à l’aimer, à avoir des sentiments de plus en plus fort. Ca me rongeait. On était au Parc lorsque j’ai eu très mal au ventre. Je me roulais par terre, je gémissais. Kévin n’arrivait pas à me calmer, je savais ce que j’avais, je ne voulais pas le lui dire… C’est juste que j’aie mal de l’aimer et de ne pas lui dire. Enfin c’est ce que je croyais… Kévin appela le SAMU, je fus évacuée en vitesse. Kévin avait les larmes aux yeux, il me tenait la main, s’approcha de moi, déposa un baiser brûlant sur ma joue, une larme à couler avec. Il s’approcha de mon oreille pour me chuchoter :
- Ne m’abandonne pas, pas maintenant, je t’en prie. J’ai besoin de toi. Je… Je ne continuerais pas sans toi.
J’étais dans le Coma, mais j’ai bien entendu, il tenait toujours ma main. J’ai lutté comme jamais pour me réveiller, je ne devais pas le laisser, pas maintenant ! J’ai ouvert les yeux, il n’as rien vu, il avait sa tête contre la mienne. J’ai donc serré sa main, il s’est relevé, m’as regardé, il a souri. Je ne savais toujours pas ses sentiments, mais tout ce que je savais, c’est qu’il tenait à moi. Je pensais aller mieux, c’est ce que je pensais. Un beau matin où je parlais avec Kévin, un docteur est arrivé, il m’a annoncé que j’étais malade… Kévin n’y croyais pas ! Tout d’un coup, j’entends frapper à la porte. Avec une petite voix je dis « Entrez… ». Que vois-je ?! Mon amie d’enfance !
- Floriane !
- Marion !
- Mais… Comment tu as su ?!
- Grâce à Kévin, tu sais que tu n’es pas la seule à le connaître.
- Oui, je le sais effectivement.
- Sinon, tu t’es bien rétablie ?
- Oui, comme tu le remarques, mais…
- Mais quoi ?!
- J’ai une maladie.
- Tu vas t’en sortir hein, dis-le moi !
- Oui Floriane, je vais m’en sortir, j’ai déjà vaincu le Coma, alors pourquoi pas la maladie ?
- Kévin ne m’a pas dit que tu étais tombée dans le Coma !
- Oups. N’en parlons plus, je m’en suis sortie, c’est l’essentiel.
- Oui, mais j’ai eu peur.
Floriane connaissait Kévin, elle remarqua que dès qu’il me regardait ses yeux brillaient. Elle l’emmena donc hors de la chambre et lui dit :
- Bon tu comptes te lancer quand ?
- Je ne sais pas, je ne sais même pas si elle, elle a des sentiments pour moi !
- Si je mène mon enquête sur ses sentiments, tu veux bien faire l’effort de lui demander ?
- Oui, c’est promis, mais ne te fatigue pas, elle ne m’aime pas…
- Rien n’est moins sûr !
Elle revint dans la chambre toute seule, avec un air malicieux et me dit :
- J’ai un truc important à te dire…
- Attends, je dis t’avouer quelque chose d’abord.
- Dis-moi.
- Quand j’avais très mal au ventre, que je me suis faite évacuée en vitesse, c’est parce que je sais que Kévin ne m’aime pas… Et c’est à ce moment-là que j’apprends que je suis malade ! S’il te plaît, ouvre lui les yeux, prouve lui qu’il a des sentiments pour moi, je t’en supplie.
- C’est comme si c’était fait, ne bouge pas je reviens.
Elle est donc ressortie, elle a raconté mon histoire a Kévin et…
Chapitre III :
Kévin est donc une nouvelle fois entré dans la chambre, mais ce coup-ci Floriane n’y étais pas. Il s’est approché de moi, il était rouge et moi aussi. Il a pris la parole :
- Ecoute, Floriane m’as tout raconté. J’ai quelque chose d’important à te dire.
Tout en disant ça, il baisse les yeux. Moi pensant qu’il me dirait que je ne suis pas son type, je laisse échapper des larmes. Il relève la tête, essuie mes larmes avec un sourire gêné. Il reprend :
- Depuis que tu es arrivé dans la classe, je ne cesse de te regarder, tu es si belle… A l’instant où tu t’es assise à côté de moi, j’ai compris une chose. Il faut peu de choses pour embraser un cœur.
- Mais…
- Ecoute. La première journée s’est mal passé, enfin surtout cet après-midi, je t’ai proposée de rester trois jours, parce que je n’ai pas envie de te quitter…
Il ne me laisse pas parler, il s’approche de moi, très timide, et dépose un long baiser sur mes lèvres. Il faut avouer que j’étais un peu déboussolée, et je pense que lui aussi ! Il me dit :
- Il y a une maison en vente juste à côté de chez moi, ta mère et toi pourriez venir habiter là-bas.
- Oui, avec plaisir ! Attends, je l’appelle.
Donc, je l’appelle « Bip, Bip, Biiip »
- Allo, maman ?
- Oui ?
- J’ai trouvé la maison de nos rêves, tu voulais changer de maison, je l’ai trouvée !
- Dit-moi où c’est on ira visiter.
- C’est dans la rue des Olivettes, maman. Je t’y emmènerais.
Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, le médecin arrive et me dit que je peux sortir, mais qu’il faudra que je vienne pour refaire des examens.
Donc, nous retournons chez Kévin, la mère de Floriane a accepté de nous ramener. Dans la voiture, on chantait, faux, mais on chantait ! Quel bonheur ! Quand nous sommes rentrés, ma mère venait d’arriver. Kévin avait proposé à Floriane de rester au moins ce soir. Du coup nous serons trois ce soir ! Donc notre joyeuse petite troupe part à la rencontre de la maison qui n’était qu’à quatre petits mètres de chez Kévin. La maison coûtait deux mille cinq cent euros. Ma mère décida donc de l’acheter, elle me dit de repartir avec mes amis, qu’elle voulait aménager la maison. Donc nous sommes repartis. Kévin et moi nous étions main dans la main j’étais collé à son torse, j’étais si bien. Nous sommes partis à la mer pour décompresser. Il fallait nous voir ! J’étais dans les bras de Kévin pour parler à Floriane, mais au bout d’un moment, il s’est endormi. Une petite amie normale l’aurait chatouillée pour qu’il se réveille ou lui aurait dit « Bébé ? Debout ! C’est pas le moment de dormir ». Cela dit, moi je ne suis pas normale. Je me suis donc dégagée de ses bras, comment je n’en sais absolument rien. Enfin bref, Floriane me regardait, elle voulait savoir comment j’allais le réveiller. C’est très simple, je me suis allongée de tout mon long sur lui (je ne fais que quarante kilos hein), puis j’ai parlé a Floriane un peu plus fort. Il s’est réveillé, mais je ne le savais pas, il s’est retourné très vite, je me suis retrouvée dans le sable. Mes deux amis étais partis dans un fou rire. Vu que Kévin me tournait le dos je me suis levée et je me suis jetée à son cou pour le faire tomber dans le sable. J’ai réussi ! Youpi ! Mais lui, il m’a porté, j’allais pour l’embrasser lorsqu’il s’approcha de l’eau, j’ai compris, alors j’ai changé de position, j’ai attaché mes pieds à son bassin, je lui tenais le coup, d’ici j’avais une vue imprenable sur ses yeux. Il m’embrasse, et juste après j’enlève mes pieds et je le pousse dans l’eau. J’appelle Floriane pour qu’elle vienne, car Kévin cherchait à m’attraper, mais comme j’avais fait six ans de natation, il n’y arrivait pas. Floriane elle est arrivée, mais pas dans le but de m’aider hein, il ne faut pas croire ! On a fait les six ans de natation ensemble, donc en dix secondes chrono elle m’a rattrapée, elle m’a tenue et Kévin nous a rattrapées. Il me prit dans ses bras, comme je savais ce qu’il allait faire je tente un regard de chaton perdu, dans ma tête, je pensais « Mon amour, s’il te plaît. » Il a dû comprendre. Mais il en a fait qu’à sa tête, il m’a donc jeté un voir deux mètre au-dessus de l’eau et moi je suis retombée dans l’eau. Nous sortons de l’eau de bonne humeur, tout d’un coup… « Dring, Dring, Dring. » C’était mon téléphone.
« Allo ?! »…
Chapitre IV :
- Kévin.
- Marion.
- Alexis.
« Oui ?! »
- Je suis bien chez Marion ?
- Oui, pourquoi ?
- Tu ne te rappelles plus de moi ?!
- Non, qui est-ce ?
- Alexis.
- Mais… Ici tout le monde te pensais mort !
- La preuve que non.
- Pourquoi m’appelles-tu ?
- Pour te dire que… Je veux que l’on se revoie.
- Tu sais très bien que j’ai eu mal… Et puis j’ai quelqu’un maintenant.
- Que tu aies quelqu’un je suis d’accord, mais je veux juste me racheter, j’ai fait beaucoup trop d’erreurs. Pardonne-moi.
- Je t’en ai pardonné trop. Ta sœur vient me dire que tu es mort dans un accident de voiture, une semaine après j’apprends que c’est faux et ensuite tu déménages à Monaco pour faire croire à tout le monde que tu t’es suicidé !
- Je sais, mais si tu veux savoir, tu sais que tu n’es pas la plus belle.
- Alors comme ça tu n’as pas changé, tu préfères jouer le gamin, je le sais que je ne suis pas la plus belle, mais j’ai un cœur, je ne t’ai jamais trompée, j’ai tué 2 ans de ma vie pour rien. C’était facile. J’aurais aussi pu te tromper très facilement t’inquiète pas, mais je reste fidèle !
- Moi ? Un gamin !
- Parfaitement ! Tu m’as tellement menti, tu m’as tant fait pleurer, j’ai eu si mal, mais tu n’as jamais rien fait.
- Mais…
- Ne dis plus rien ! De toute façon je ne veux plus te parler, ni te voir d’ailleurs !
« Bip, Bip, Biip… »
Je me rassoie sur ma serviette, le cœur rempli de larmes. Kévin et Floriane se mettent à côté de moi, Kévin me pris dans ses bras, mais rien n’y fait, un câlin ne fait pas oublier les souffrances que l’on a connu. Malgré tout, je me blottis contre lui. Ce qu’Alexis m’avait dit j’avais envie de sauter d’une falaise, il m’avait trompée ! Comment s’en remettre ? Impossible j’ai si mal maintenant. Je repensais à tous nos bons moments, nos bons délires ensemble… On rigolait de Cupidon chaque jour, on l’appelait « Dubidon » on disait qu’il ne servait à rien, l’amour ne se choisis pas, des tonnes d’inepties comme ça qui nous faisaient rire. Aujourd’hui tout est fini. Nos rires, nos chansons, nos baisers se sont envolés. Cher Dieu, qu’ai-je mérité ?! Dites-moi ! Tentant d’oublier tout ce qui venait de se passer. Ce fut un véritable supplice, mais j’ai quand même réussi à me concentrer sur Kévin. Enfin jusqu’à ce que j’apprenne la vérité. Ça a heurté mon cœur de plein fouet. Ça m’a donné comme une claque. Je crois que je ne pourrais pas tomber plus bas. Je suis tombée de si haut ! Je crois que j’en ai même perdu mes ailes. Comment me relever ?! Comment refaire confiance ? Je l’aime toujours mais je ne savais pas qu’il cachait ça et que j’en étais la principale victime. De peur que je lui dise que je ne l’aime plus, il est parti. Mais je l’ai pris par la main, je me suis blottie contre lui et j’ai pleuré. Puis il a soulevé mon visage pour déposer un baiser sur mes lèvres. Comme je voulais le faire sourire, j’ai agrippé une de ses canines entre mes lèvres et j’ai joué avec. Au bout d’un moment j’ai fait un faux mouvement et sa canine m’as percée la lèvre inférieure. J’avais du sang qui coulais sur mon cou, Kévin a voulu l’essuyer du revers de sa chemise mais je l’en ai empêché. Je lui ai tendu mon Caraco blanc pour l’essuyer. Il a fait ça si délicatement, qu’on aurait dit qu’il avait fait cela toute sa vie.
Kisouilles & Bon Jeu ! ♥
Dernière modification par Kaahyna (Le 11-08-2013 à 11h01)